Info / News 14 Sep. 2013
Droopy devrait échapper à la mort Droopy devrait échapper à la mort et même rentrer à la maison Le rapport de l'experte neutre redonne espoir à la famille propriétaire du chien détenu à la SPA depuis le 10 mai 2012. Droopy, vous vous rappelez? Le 10 mai 2012, ce chien, un croisé labrador–berger allemand, qui était dans son jardin, a mordu les doigts d'un enfant qui l'avait taquiné à travers le grillage. Le môme, pour protéger l'animal appartenant à son copain, avait parlé à sa maman d'un chien errant. Celle-ci, logiquement, avait donc appelé la police. Les agents, logiquement aussi, et de bonne foi, étaient venus à la maison de Corcelles-près-Payerne se saisir du chien. Et avaient emmené le coupable, l'animal de compagnie du voisin, au refuge de la SPA de Sainte-Catherine. L'enfant mordu avait très rapidement dit la vérité, et raconté le vrai scénario de l'accident. Le chien n'était pas errant, et il l'avait embêté. Mais rien n'y a fait: depuis ce jour-là , Droopy n'a pas quitté le refuge. Il y est toujours détenu et il a même été condamné à l'euthanasie par le vétérinaire cantonal vaudois, qui l'a estimé irrémédiablement dangereux. Seize mois de détention, de chagrin dans les deux familles concernées, de recours, de passion populaire autour de cette histoire. Tout sembla souvent perdu pour la famille Egli et pour Droopy, et pourtant, aux dernières nouvelles, le chien pourrait échapper à la mort, et même retourner dans sa maison. Ce qui change tout, c'est le rapport d'expertise neutre demandé par le Tribunal cantonal à la suite du recours des Egli. Cet examen a porté sur plusieurs points et s'est déroulé en plusieurs lieux. La vétérinaire bernoise chargée de l'expertise – acceptée par les deux parties – a d'abord noté que Droopy, à la SPA, était en bonne santé, prenait plaisir en compagnie de son gardien, qui va le promener dans les environs autant qu'il le peut. Le chien joue, accepte la muselière, se comporte bien. Petite anecdote: à la SPA, et dans le cadre de l'expertise, il a reçu la visite de Patricia et David Egli, ses propriétaires. Il a, paraît-il, fait un festival de réactions affectueuses, qui a ému toute l'assistance. Et pesé de tout son poids dans le rapport. Cela laisse penser aussi que le chien, malgré sa détention, malgré son éloignement de la famille, n'est devenu ni dangereux ni dépressif. L'un des épisodes de l'expertise – on dit aussi évaluation – s'est déroulé à la maison des Egli, «chez» Droopy donc. Il en est ressorti que le chien n'a jamais montré la moindre agressivité envers les gens chargés d'examiner son comportement, alors même qu'ils étaient sur son territoire. Au refuge par contre, il avait, mais comme beaucoup de chiens enfermés dans des cages ou derrière des grillages, aboyé contre les passants. Autre fait qui va dans le sens de la non-dangerosité du condamné à la piqûre fatale: il s'est montré très aimable envers la jeune chienne de race springer spaniel que les Egli ont adoptée il y a un an, non pas pour remplacer leur animal séquestré, mais pour remettre de la vie auprès des enfants. Dans sa maison, Droopy a fait la fête à tout le monde, il s'est montré très doux avec tous les enfants, même avec les plus petits qu'il avait peu connus. Au bout du compte et de ses observations, l'experte a clairement répondu que la décision de séquestre définitif et d'euthanasie n'a pas lieu d'être, et qu'il aurait fallu considérer des solutions alternatives. Dans son rapport, tout en rejetant nettement l'idée d'euthanasie, l'experte se demande si le retour de Droopy à la maison de Corcelles est envisageable, et elle répond oui. Mais il s'agirait alors de prendre certaines précautions: il devrait notamment être sorti uniquement par ses propriétaires adultes, en laisse et muselé; il ne devra pas être laissé seul avec des enfants; les barrières du jardin doivent être améliorées. Et elle souligne que le fait qu'une chienne vive aussi dans la maison est un bien pour l'équilibre de Droopy, s'il revient! De leur côté, contents de l'évolution des choses, Patricia et David Egli sont prêts à effectuer les aménagements, à suivre les cours et les conseils nécessaires, dans l'espoir de voir leur chien revenir. «Et puis nous aurons aussi à payer la facture de toute cette affaire. Des centaines de jours de pension à 20 fr. par jour, des frais d'avocate, nous ne sommes pas au bout de nos peines!» souligne Patricia Egli. L'avocate, ces jours-ci, a demandé des mesures provisoires, afin de permettre le retour de Droopy à la maison en attendant la décision finale qui émanera du canton. (24 heures, Philippe Dubath)
Posté par : Louis Mayer 09 Aoû. 2013
Adopter un chien d’origine inconnue, c’est risqué Une Vaudoise qui avait revendu des chihuahuas étrangers à bas prix vient d'être condamnée devant un tribunal lausannois. Les animaux étaient dépourvus de papiers d'identité et n'avaient pas été immunisés contre les maladies (lire encadré). «Amener chez soi un chien inconnu, c'est prendre un risque potentiel énorme», assure François Caula, vétérinaire cantonal adjoint. Les autorités craignent par-dessus tout de voir la rage ressurgir dans nos régions. «Les importations viennent beaucoup des pays de l'Est, où la rage n'est pas éradiquée. Les chiots ne subissent pas les vaccins préventifs que les éleveurs pratiquent en Suisse, poursuit François Caula, qui ne dispose pas de chiffres concernant le phénomène. Les petits sont retirés trop tôt à leur mère et n'ont pas été sociabilisés. Nous en trouvons dans un état déplorable. Ils sont placés en quarantaine une centaine de jours. Et ceux que nous découvrons ne sont que la pointe de l'iceberg.» Trafiquante punie (20 Minutes, 8.8.13) Posté par : Louis Mayer 13 Jui. 2013
Deux trafics de chiots démantelés en Suisse romande Les autorités vétérinaires romandes et la section antifraude douanière ont démantelé deux trafics de chiots (225 chiots) importés à Genève et vendus principalement en Suisse romande. Les animaux qui provenaient de Hongrie étaient vendus à la sauvette dans la rue. Ce commerce illégal présente le risque d'importer des épizooties en Suisse, l'état général de ces animaux étant souvent précaire, indique jeudi le Département genevois de la santé (DARES) dans un communiqué. De nombreux chiots avaient des parasites intestinaux, souffraient de diarrhées aiguës et de malformations cérébrales. Ces trafics concernaient en particulier les chiots de petites races comme les Yorkshire, les Chihuahuas et les Shi-Tsu. Leur prix montait jusqu'à 1500 francs alors qu'aucun document n'attestait leur origine ou leur pedigree. Les identifications électroniques ne répondaient pas aux exigences légales suisses. L'association suisse des vétérinaires cantonaux région ouest déconseille d'acheter un chiot sur un coup de tête. Il est primordial de pouvoir observer l'animal avec sa mère et de visiter l'élevage. Cette démarche garantit un achat sûr en matière de provenance, de santé et de socialisation du chien. (ats/Newsnet) Communiqué plus complet sous https://www.20min.ch/ro/news/geneve/story/10351419 Posté par : Louis Mayer 05 Jui. 2013
Cages de transport Le TCS a testé cinq cages pour chiens, destinées au transport en voiture. Trois d'entre elles sont très recommandables. Lors d'un trajet en voiture, mieux vaut s'assurer que le chien reste à sa place. Car, en cas de collision, il risque d'être violemment projeté et ainsi blesser les occupants du véhicule et lui-même. Il est donc vivement conseillé de le mettre dans une cage métallique, que l'on placera de préférence dans le coffre. Pour évaluer la praticité et la qualité de ces box, le Touring club suisse (TCS) a retenu cinq modèles et les a soumis à différents crash-tests*. Trois obtiennent la mention «très recommandé».
Les résultats du test ont par ailleurs démontré qu'il est indispensable de bien ancrer la cage dans le coffre et de l'appuyer contre le dos de la banquette arrière. Mais aussi de choisir une taille adéquate, c'est-à -dire suffisamment grande pour un confort convenable et, en même temps, assez petite, de manière à atténuer la violence en cas de choc. (Revue "Bon à savoir" et TCS) Posté par : Louis Mayer 30 Avr. 2013
Les chiens doivent être tenus en laisse en forêt A la saison de mise-bas des mammifères et d'éclosion des nichées d'oiseaux, les chiens doivent être tenus en laisse en forêt, afin de ne pas perturber la reproduction de la faune. Très souvent, les propriétaires de chiens sont conscients que leur compagnon à quatre pattes peut déranger la faune. Mais certains En réalité, un simple dérangement peut avoir des répercussions négatives, même si le canidé ne poursuit pas l'animal. Pour le Les cantons de Suisse romande ont défini des périodes différentes pour l'obligation de tenir les chiens en laisse en forêt. À Fribourg et Genève, c'est du 1er avril au 15 juillet. À Neuchâtel, du 15 avril au 30 juin. Dans le canton de Vaud, du 25 mai au 15 juillet. Berne, Jura et Valais n'ont pas défini de période particulière : toute l'année les chiens doivent être sous contrôle; de plus, dans certaines Posté par : Louis Mayer 30 Avr. 2013
Coup de chapeau à la Pologne, mais… Depuis le 1er janvier 2012, la Pologne interdit la vente de chiens et de chats sans pedigree, rapporte le site Courrier International. Cette mesure vise à lutter efficacement contre les élevages industriels de chiens ou chats prétendus de race ou 'usines à chiots', mais qui évoluent dans des conditions sanitaires déplorables. En théorie, avec cette nouvelle loi, cette pratique d'élevage industriel disparaîtra. En théorie seulement car des éleveurs peu Posté par : Louis Mayer 18 Jui. 2012
Plus de 230 chiots importés illégalement de Hongrie Les gardes-frontière ont mis fin à un trafic de chiots en provenance de la Hongrie. Les acheteurs étaient en particuliers des Suisses. Une éleveuse hongroise a fait passer elle-même plus de 130 chiots en Suisse, a indiqué mardi la direction d'arrondissement des douanes de Schaffhouse. Elle a livré une partie des bêtes à des intermédiaires, l'autre partie directement aux acheteurs. L'éleveuse entrait en Suisse essentiellement par des postes de douane non surveillés dans la région du Rheintal st-gallois. Elle a vendu les chiens dans toute la Suisse et a ainsi réalisé un chiffre d'affaires de plus de 100'000 francs. Les polices municipales de Zurich et Winterthour (ZH) ont aussi pu arrêter une revendeuse en Suisse. Elle a vendu des chiots importés illégalement sans avoir les autorisations nécessaires. Ses acheteurs étaient des particuliers en Suisse. Dans le cadre de l'enquête, les services des douanes ont aussi constaté un grand nombre d'importations illégales de chiots par des particuliers. Ils se rendaient à l'étranger pour acquérir les animaux. Posté par : Louis Mayer 09 Jui. 2012
Les chiens protègeraient les bébés de certaines infections Une étude révèle que vivre au contact d'un chien qui passe au moins une partie de sa journée à l'extérieur pourrait renforcer le système immunitaire d'un enfant dans la première année de sa vie. "Nous faisons l'hypothèse que les contacts animaux pourraient aider à faire mûrir le système immunitaire, menant à des réponses immunitaires plus efficaces et à des périodes d'infection plus courtes", dit l'étude. Posté par : Louis Mayer 13 Mar. 2012
Le Parlement met fin au commerce sauvage de chiens Le Conseil national a adopté mardi la révision réglant le commerce des chiens. Celle-ci vise à stopper le trafic de chiens et de chiots venus d'Europe de l'Est qui sont souvent malades. L'interdiction de ce type de commerce est sans conséquence pour les ventes de chiens par des éleveurs. Le commerce sauvage de chiens sera à l'avenir interdit. En rejoignant mardi le Conseil des Etats sur quelques divergences mineures, le National a mis sous toit tacitement la révision de la loi sur les épizooties. Un des principaux objectifs de la révision était de mettre fin au trafic de chiens et de chiots. Ces animaux issus en particulier d'Europe de l'Est et vendus à la sauvette, notamment sur des parkings d'autoroutes, sont souvent malades, pas vaccinés contre la rage et insuffisamment socialisés. L'interdiction du colportage est ainsi étendue à toutes les espèces, et plus seulement aux animaux de rente. L'interdiction de ce type de commerce est sans conséquence pour les ventes de chiens par des éleveurs, des refuges ou des commerces spécialisés. Elle ne résout en outre pas tous les problèmes, le trafic d'animaux ne s'appuyant pas seulement sur le colportage, mais aussi sur l'internet. Le Parlement n'a en revanche pas accepté de réintégrer par la petite porte la banque de données nationale des chiens qu'elle a enterrée il y a un an. Le camp rose-vert a en vain tenté de remettre sur la table cet instrument que souhaitent 17 cantons, l'Association des communes et celle des vétérinaires. Posté par : Louis Mayer 21 Fév. 2012
Suppression de la quarantaine Dès le 1er janvier 2012, l'Angleterre a allégé les règles pour l'entrée sur son territoire des animaux de compagnie - chiens, chats et furets - mettant fin à la quarantaine de 6 mois imposée depuis le IXe siècle. Ces animaux devront simplement être vaccinés contre la rage. Un délai de 21 jours entre la vaccination et l'entrée en Angleterre reste obligatoire. Posté par : Louis Mayer 26 Jui. 2011
Gale du renard La gale du renard peut contaminer les chiens (Journal 24 Heures) Abattus d'une balle ou piégés puis éliminés, dix renards ont été supprimés depuis le mois d'avril en haut du chemin de Bellevue à Lausanne. Pas de quoi fouetter un chat. Des renards qui meurent, la conservation de la faune en a recensé 1793 en 2010. Mais ces dix renards-là sont tous victimes de la gale. «C'est incroyable, je n'en ai jamais vu autant», confie le chasseur chargé de régler le sort de ses animaux. «La gale du renard est présente sur tout le territoire suisse, explique Sébastien Sachot conservateur de la Faune mais Lausanne est fortement touchée. Difficile sinon impossible de savoir pourquoi elle explose tout à un endroit et pas ailleurs.» Le conservateur de la Faune cite en passant Claude Fischer, zoologue neuchâtelois. Auteur d'une thèse sur la gale, le zoologue a constaté que la maladie peut décimer localement très rapidement les trois quarts d'une population de renards. Habitante de longue date du chemin de Bellevue, Antoinette Nicod vivait en (plutôt) bons termes avec les renards. «Ces animaux se sont bien assimilés à la vie du quartier. On en connaît qui viennent chiper les jouets des chats dans les cuisines, on en voit d'autres qui se prélassent sur le transat du jardin sans avoir peur ni des chiens ni des humains.» Bon an mal en an, Lausannois et renards cohabitent. Jusqu'à ce que ces animaux soient malades de la gale. «A force de se gratter, les renards sont sans poils, pelés, leur peau est rouge et sanguinolente», explique Antoinette Nicod. La dame n'accepte pas d'avoir tous les jours sous les yeux des bêtes qui souffrent. Les scènes d'agonie sont d'autant plus macabres que les impitoyables corneilles du voisinage s'acharnent à coups de bec sur les bêtes pantelantes. L'autre raison qui l'a poussée à demander l'intervention d'un trappeur est la maladie d'Ocky, son bouvier bernois de trois ans. Cet animal a attrapé la gale. La chienne a contaminé d'autres chiens de son club cynophile. car la gale du renard se transmet facilement aux chiens et aux chats. Elle peut être soignée par un traitement prescrit par un vétérinaire (antibiotiques, injections, shampoings spéciaux…). La Lausannoise se demande ce que pourrait faire l'Etat pour pallier cette épidémie. «On a bien réussi à éradiquer la rage chez les renards, alors pourquoi, s'interroge Antoinette Nicod, ne pas les chasser des villes?» Peine perdue, les renards se répartissent entre eux des territoires dans la nature et ne font plus la différence entre ville et campagne. Quant à l'intervention de l'Etat, il donne l'adresse de spécialistes agréés aux citoyens voulant voir les renards quitter leurs propriétés. Ces trappeurs tentent d'arranger les relations pas toujours simples entre animaux et humains. Ils peuvent emmener les bêtes ailleurs. En cas de maladie, ils peuvent aussi les éliminer. Les frais restent à la charge des particuliers. Posté par : Louis Mayer 21 Avr. 2011
Danger : les chenilles processionnaires du pin Ces chenilles consomment les aiguilles des pins (et parfois de cèdres). En fin d'hiver et au printemps, les chenilles se déplacent au sol en procession. Les chenilles sont recouvertes de poils urticants et peuvent occasionner des désagréments ou même des ennuis graves aux personnes et aux animaux. Chaque poil est relié à une glande à venin. Ce venin, provoquant une nécrose tissulaire, est libéré lorsque le poil très fragile se casse. En cas de vent, des poils urticants infestant les nids peuvent être dispersés et tomber sur les promeneurs ou être inhalés. Les chiens sont tentés de flairer les chenilles de près et d'en avaler, ce qui provoque une nécrose de la langue, et peut être mortel (consulter immédiatement un vétérinaire). Posté par : Louis Mayer |